Le 21e siècle est apparu avec son cortège d’influence et de changement à travers le monde entier notamment avec l’avènement des NTICS. Ce siècle peut être présenté comme l’ère du numérique. Les réseaux sociaux, téléphones de dernières générations, objets high-tech, internet ou encore la 5G aujourd’hui tout tourne autour de ces choses et presque tous les domaines en font recours histoire de suivre l’évolution de notre monde actuel. La digitalisation consiste à utiliser et mettre à profit les technologies numériques en vue d’améliorer notre société actuelle. Cependant en quoi le digital pourrait-il servir à un artiste-visuel lambda ou moderne ?
D’entrée de jeu il est bien de reconnaitre l’utilité du digital dans l’art visuel partant de la photographie où l’on assiste depuis la fin du XXe siècle à un autre genre qui est le « photomontage » qui laisse intervenir le digital dans la finition de l’œuvre photographique.

C’est en effet, un pont idéal, qui relie l’art de la photographie basic à celle d’une photo dite ‘’montée’’ qu’on retrouve maintenant et qui développe certaines thématiques comme « l’Afrofuturisme » et même des photographies de portraits revisitées comme celles de David Hockney l’un des plasticiens vivant les plus prestigieux de son temps. Hormis ce fait, il est important pour nos artistes de digitaliser leurs productions en vue d’une visibilité plus large et un accès plus facile pour les curateurs qui pourront mieux s’en imprégner malgré la distance. Aussi la présence du numérique doit être une belle lucarne pour chaque artiste dans l’optique de développer une belle stratégie de communication et permettre au public aguerri ou non d’être davantage aux contacts de leurs créations.

Enfin la digitalisation arrange plusieurs secteurs aujourd’hui et les arts-visuels en profitent aussi. Avec l’avancée des technologies de l’information et de la communication nous assistons à des ventes aux enchères en ligne , des visites de musée ou de galerie d’art contemporain de façon virtuelle sans se déplacer ; ce qui nous a vraiment permis d’être toujours connecté à la culture pendant le confinement grâce au projet ‘’Google Art and Cultur’’. Pour clore ces temps-ci les réseaux sociaux ont beaucoup d’influences, les artistes devraient sainement et de façon très bien organiser s’en servir pour mener à bien leur communications. Des artistes comme l’ivoirien Pehah Jacques Soro ont vu leur première grande vente grâce a Facebook ; L’art et le digital c’est un mariage qui peut enfanter beaucoup de belles choses comme « Africanartists » une plateforme numérique entièrement consacrée à la promotion des Arts-visuels d’Afrique et d’ailleurs. N’hésitez plus à nous lire.
Nous allons vous faire aimer l’ART…
Ange-Alvine Yao
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